Je regarde par la fenêtre.
Cela donne une journée bien calme.
Les maisons sont solides, elles n’ont pas besoin de mon soutien.
Le gros chat noir qui évolue sur la pente d’un toit
Se débrouille également tout seul ;
Le ciel, alors lui, il la refuse carrément, ma protection :
Il est devenu assez grand. Dans ces conditions-là
Il n’y a rien à faire. Pourtant, je suis un être
Anxieux de sauver ce monde
Qui commence devant ma fenêtre.
Elle pèse lourd, une inutilité pareille.
Serait-elle la gravité qui tient tout en place ?
21 Septembre 2010
mardi 21 septembre 2010
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