_____________________________________sight.
She peeled them off the frilly cups, thrust them out, her big
________________________________eyes queried.
Not one applauded.
Didn't they appreciate? This was the first real thing she had
____________________________________offered.
There wasn't much left. Her only chance was to go on.
Overawed, she showed her back. The buttocks wobbled,
____________________________buffeted by unease.
People shifted on their chairs; she didn't realize, too eager to
_________________________________ finish it up.
She turned again toward her public, nobody budged
__________________________________ anymore.
Her arms dropped down slack to her sides.
A hundred bewitched eyes fixed a botched bikini wax.
Those people were overwhelmed with withheld love.
I'm so sorry! she spluttered and made a hasty exit.
She solaced herself in knowing that tomorrow she'd be better.
September 27, 2006
La première fois
Toute nerveuse, elle se déboutonna. Surgit un ravissant soutien-gorge plongeant.
Elle les sortit des balconnets à froufrous, puis les avança, ses grands yeux tout interrogatifs.
Pas un seul n'applaudissait.
N'appréciaient-ils pas ? C'était là le premier grand cadeau qu'elle leur faisait.
Il ne lui restait pas grand-chose. Sa seule chance était de continuer.
Drôlement intimidée, elle leur montra le dos. Son fessier tressautait, frappé de malaise.
Les gens remuaient sur leurs chaises. Elle ne le voyait pas, trop pressée d'en finir.
Elle se tourna à nouveau vers son public. Plus personne ne bougeait.
Les bras lui en tombaient.
Cinquante paires d'yeux fascinés fixaient son épilation loupée.
Ces gens-là était littéralement asphyxiés d'amour retenu.
Je suis vraiment désolée ! bredouilla-t-elle, puis partit précipitamment.
Demain, je saurai mieux faire, se consola-t-elle.
Sept. 27, 2006, traduit le 27 Sept.
Toute nerveuse, elle se déboutonna. Surgit un ravissant soutien-gorge plongeant.
Elle les sortit des balconnets à froufrous, puis les avança, ses grands yeux tout interrogatifs.
Pas un seul n'applaudissait.
N'appréciaient-ils pas ? C'était là le premier grand cadeau qu'elle leur faisait.
Il ne lui restait pas grand-chose. Sa seule chance était de continuer.
Drôlement intimidée, elle leur montra le dos. Son fessier tressautait, frappé de malaise.
Les gens remuaient sur leurs chaises. Elle ne le voyait pas, trop pressée d'en finir.
Elle se tourna à nouveau vers son public. Plus personne ne bougeait.
Les bras lui en tombaient.
Cinquante paires d'yeux fascinés fixaient son épilation loupée.
Ces gens-là était littéralement asphyxiés d'amour retenu.
Je suis vraiment désolée ! bredouilla-t-elle, puis partit précipitamment.
Demain, je saurai mieux faire, se consola-t-elle.
Sept. 27, 2006, traduit le 27 Sept.
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